Parfois je ris..............parfois je pleure.... Parfois je chante........... Parceque j'aime la vie
mercredi 28 novembre 2012
lundi 26 novembre 2012
Attendez que ma joie revienne
Attendez que ma joie revienne
Et que se meure le souvenir
De cet amour de tant de peine
Qui n'en finit pas de mourir.
Avant de me dire je t'aime,
Avant que je puisse vous le dire,
Attendez que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire.
Laissez-moi. Le chagrin m'emporte
Et je vogue sur mon délire.
Laissez-moi. Ouvrez cette porte.
Laissez-moi. Je vais revenir.
J'attendrai que ma joie revienne
Et que soit mort le souvenir
De cet amour de tant de peine
Pour lequel j'ai voulu mourir.
J'attendrai que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire,
Que le vent ait séché ma peine
Et la nuit calmé mon délire.
Il est, paraît-il, un rivage
Où l'on guérit du mal d'aimer.
Les amours mortes y font naufrage,
Epaves mortes du passé.
Si tu veux que ma joie revienne,
Qu'au matin, je puisse sourire
Vers ce pays où meurt la peine,
Je t'en prie, laisse-moi partir.
Il faut de mes amours anciennes
Que périsse le souvenir
Pour que, libérée de ma chaîne,
Vers toi, je puisse revenir.
Alors, je t'en fais la promesse,
Ensemble nous irons cueillir
Au jardin fou de la tendresse
La fleur d'amour qui va s'ouvrir
Mais c'est trop tôt pour dire je t'aime,
Trop tôt pour te l'entendre dire.
La voix que j'entends, c'est la sienne.
Ils sont vivants, mes souvenirs.
Pardonne-moi : c'est lui que j'aime.
Le passé ne veut pas mourir.
Barbara
Et que se meure le souvenir
De cet amour de tant de peine
Qui n'en finit pas de mourir.
Avant de me dire je t'aime,
Avant que je puisse vous le dire,
Attendez que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire.
Laissez-moi. Le chagrin m'emporte
Et je vogue sur mon délire.
Laissez-moi. Ouvrez cette porte.
Laissez-moi. Je vais revenir.
J'attendrai que ma joie revienne
Et que soit mort le souvenir
De cet amour de tant de peine
Pour lequel j'ai voulu mourir.
J'attendrai que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire,
Que le vent ait séché ma peine
Et la nuit calmé mon délire.
Il est, paraît-il, un rivage
Où l'on guérit du mal d'aimer.
Les amours mortes y font naufrage,
Epaves mortes du passé.
Si tu veux que ma joie revienne,
Qu'au matin, je puisse sourire
Vers ce pays où meurt la peine,
Je t'en prie, laisse-moi partir.
Il faut de mes amours anciennes
Que périsse le souvenir
Pour que, libérée de ma chaîne,
Vers toi, je puisse revenir.
Alors, je t'en fais la promesse,
Ensemble nous irons cueillir
Au jardin fou de la tendresse
La fleur d'amour qui va s'ouvrir
Mais c'est trop tôt pour dire je t'aime,
Trop tôt pour te l'entendre dire.
La voix que j'entends, c'est la sienne.
Ils sont vivants, mes souvenirs.
Pardonne-moi : c'est lui que j'aime.
Le passé ne veut pas mourir.
SOUS SES DOIGTS
Sous ses doigts
Elle le tient, dans son absence.
Lui! Son Aimé, sa jouissance
Patient laboureur de sa chair épanouie.
Elle en brûle.
Douleur d'incandescence,
Insupportable pince de crabe,
Qui lui tenaille le ventre à blanc.
Urgence.
Alors apaiser
Adoucir, la violence du manque
Ou en mourir au centre de ses cuisses.
Elle flotte
Dans l'écho venu de loin
De son puissant désir viril
Dont Il la déchire, la dilate, l'inonde.
Abandonnée
Au touché mouillé
Elle s'acharne à s'aimer
Pour lui, dont elle est pleine.
Gémir
Gémir son nom
Et s'en remplir de Lui
Jusqu'à en déborder sous la caresse.
Elle jouit
Dans le cri généralisé
De ces cellules submergées
Quand elle Le croit exploser en elle.
Le rêve passe.
Dans le drap froissé
Ne reste plus que le vide
De sa peau et de son odeur d'homme.
Quand donc
Reviendra - t -Il
La refleurir sous ses mains
En se plantant dans son corps qui L'attend ?
Francois D'Alayrac
mardi 13 novembre 2012
Et le vers devint triste
Ainsi j’ai renoncé, au désir de vous plaire,
Enfin j’ai accepté, de bien vouloir le taire,
Ce sentiment brûlant, qui consumait mon âme,
La folie d’un amant, qui le rendait bien âne.
Car la vie est un jeu, qui vous fait bien des tours,
Et que pour être heureux, il faut trop de détours.
Je jette ainsi l’éponge, et ferme pour toujours,
Ce qui n’est plus qu’un songe, la porte de l’amour.
J’abandonne l’espoir, de conquérir un cœur,
Quand je ne peux avoir, que douleur et malheur.
La vie est ainsi faite, elle est parfois cruelle,
J’accepte ma défaite, car elle est sans appel !
Le chemin qu’il me reste, passera sans ardeur,
Car c’est à la cuisine, que je confis mon cœur !
Avec quelques lardons, faites le revenir,
Ou bien dans un chaudron, laissez le bien bouillir...
Je ne veux plus de lui, l’amour est assassin,
Et tant pis si la nuit, reste mon seul chemin,
Car il est à vomir, je me veux sans espoir,
Et au fond pour dormir, point n’est besoin d’y voir.
philachev http://kfouillages.canalblog.com/archives/2012/11/05/25508959.html
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