Powered By Blogger

mercredi 15 mai 2013

.....

La vie se vit d'essaie et d'erreur
toute relation n'est pas destinée à fonctionner
parfois elle est simplement destinée à t'apprendre quelque chose
Anonyme

mercredi 28 novembre 2012

LA BEAUTE


Quand on la possède c'est une clé qui ouvre tant de portes et en empêche autant de s'ouvrir.

 

C'est le premier le premier faire valoir d'une personne aussi superficielle soit-elle.

Car elle fascine.

Elle fait baisser les armes et rend vulnérable l'autre.

Cette beauté là est certes  agréable à l'oeil,elle peut être le faire valoir de celui qui 'accompagne.

Pour autant le principal ne reste t-il pas la beauté de l'âme.

Une amie m'a rapportée qu'on avait dit de moi,elle est belle et gentille ,

elle doit avoir des choses à se faire pardonner....

gentillesse et beauté ne peuvent donc pas s'accorder?

 Seront elles toujours ennemis?

 

 

La beauté  elle fait peur souvent et empêche l'autre de venir vers vous.

L'autre vous met sur un piedestal, et vous rend inaccessible .la peur le terrasse.

La beauté captive,on voudrait l'avoir dans ses bras près de soi

,mais elle représente un danger dans la mesure où elle est convoité,

et pourrait bien se laisser séduire par un autre

 

Une personne qui possède la beauté physique est comme les autres,

 capable d'aider,écouter, aimer, sans calcul.

Elle le fait pour faire plaisir,par pour se faire aimer,

mais simplement parce qu'au fond d'elle,

elle a aussi ce potentiel:

 Le don de soi...

 
 

lundi 26 novembre 2012

Attendez que ma joie revienne


Attendez que ma joie revienne
Et que se meure le souvenir
De cet amour de tant de peine
Qui n'en finit pas de mourir.
Avant de me dire je t'aime,
Avant que je puisse vous le dire,
Attendez que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire.

Laissez-moi. Le chagrin m'emporte
Et je vogue sur mon délire.
Laissez-moi. Ouvrez cette porte.
Laissez-moi. Je vais revenir.
J'attendrai que ma joie revienne
Et que soit mort le souvenir
De cet amour de tant de peine
Pour lequel j'ai voulu mourir.
J'attendrai que ma joie revienne,
Qu'au matin je puisse sourire,
Que le vent ait séché ma peine
Et la nuit calmé mon délire.

Il est, paraît-il, un rivage
Où l'on guérit du mal d'aimer.
Les amours mortes y font naufrage,
Epaves mortes du passé.
Si tu veux que ma joie revienne,
Qu'au matin, je puisse sourire
Vers ce pays où meurt la peine,
Je t'en prie, laisse-moi partir.
Il faut de mes amours anciennes
Que périsse le souvenir
Pour que, libérée de ma chaîne,
Vers toi, je puisse revenir.

Alors, je t'en fais la promesse,
Ensemble nous irons cueillir
Au jardin fou de la tendresse
La fleur d'amour qui va s'ouvrir
Mais c'est trop tôt pour dire je t'aime,
Trop tôt pour te l'entendre dire.
La voix que j'entends, c'est la sienne.
Ils sont vivants, mes souvenirs.
Pardonne-moi : c'est lui que j'aime.
Le passé ne veut pas mourir.
Barbara

SOUS SES DOIGTS



Sous ses doigts
Elle le tient, dans son absence.
Lui! Son Aimé, sa jouissance
Patient laboureur de sa chair épanouie.

Elle en brûle.
Douleur d'incandescence,
Insupportable pince de crabe,
Qui lui tenaille le ventre à blanc.

Urgence.
Alors apaiser
Adoucir, la violence du manque
Ou en mourir au centre de ses cuisses.

Elle flotte
Dans l'écho venu de loin
De son puissant désir viril
Dont Il la déchire, la dilate, l'inonde.

Abandonnée
Au touché mouillé
Elle s'acharne à s'aimer
Pour lui, dont elle est pleine.

Gémir
Gémir son nom
Et s'en remplir de Lui
Jusqu'à en déborder sous la caresse.

Elle jouit
Dans le cri généralisé
De ces cellules submergées
Quand elle Le croit exploser en elle.

Le rêve passe.
Dans le drap froissé
Ne reste plus que le vide
De sa peau et de son odeur d'homme.

Quand donc
Reviendra - t -Il
La refleurir sous ses mains
En se plantant dans son corps qui L'attend ?

Francois D'Alayrac

.....


Passé enchanteur
 
Sans cesse vibrateur
 
Présent au silence vexateur
 
 Futur réconciliateur?

mardi 13 novembre 2012

Et le vers devint triste

 

 

Ainsi j’ai renoncé, au désir de vous plaire,
Enfin j’ai accepté, de bien vouloir le taire,
Ce sentiment brûlant, qui consumait mon âme,
La folie d’un amant, qui le rendait bien âne.

Car la vie est un jeu, qui vous fait bien des tours,
Et que pour être heureux, il faut trop de détours.
Je jette ainsi l’éponge, et ferme pour toujours,
Ce qui n’est plus qu’un songe, la porte de l’amour.

J’abandonne l’espoir, de conquérir un cœur,
Quand je ne peux avoir, que douleur et malheur.
La vie est ainsi faite, elle est parfois cruelle,
J’accepte ma défaite, car elle est sans appel !

Le chemin qu’il me reste, passera sans ardeur,
Car c’est à la cuisine, que je confis mon cœur !
Avec quelques lardons, faites le revenir,
Ou bien dans un chaudron, laissez le bien bouillir...

Je ne veux plus de lui, l’amour est assassin,
Et tant pis si la nuit, reste mon seul chemin,
Car il est à vomir, je me veux sans espoir,
Et au fond pour dormir, point n’est besoin d’y voir.

 

 philachev http://kfouillages.canalblog.com/archives/2012/11/05/25508959.html